Après 20 ans de carrière, Da Silva signe son 10ème album avec les mêmes fougue et énergie viscérales que lors de son premier opus réalisé en 2005.
Da Silva signe son album le plus dense ! Les textes y sont débarrassés de tous les clichés attendus et entendus de la pop musique française, les thèmes abordés naviguent entre méchanceté et bonté humaines, entre la recherche d’un amour absolu et la perte des hommes pour y parvenir.
Da Silva acquiert une fluidité d’écriture qu’il n’avait pas réussi à tenir en place jusqu’à présent, une volonté affichée d’être lisible.
C’est un décor structuré de sons électroniques et électroacoustiques qu’il a façonné autour d’une section rythmique solide, d’une harpe et d’un trio à cordes sensibles.
L’auteur-compositeur-interprète a repensé son mode de création, son processus d’écriture des textes pour que cet album s’aborde sous un angle tout à fait nouveau dans le paysage français.
Au Grand Hôtel, les hommes dorment les yeux ouverts...
Da Silva est né le 15 avril 1976 à Nevers.
Du groupe de punk rock nivernais, les Mad Coakroches, à Mitsu, en passant par les Tambours du Bronx, Punishment Park, et Vénus Coma, du punk rock français à la musique électronique, la jeunesse de cet adolescent surdoué fut un prélude à ce que l'homme allait devenir : Da Silva, l'artiste caméléon, prolifique, l'auteur-chanteur-compositeur capable de toutes les collaborations et de toutes les aventures artistiques.
Avec son premier Label, Tôt ou Tard, il sort 3 albums solo, dont le 1er en 2005, Décembre en Été, sera disque d'or. Nommé en 2007 aux Victoires de la Musique en tant qu'artiste révélation scène, il enchaine ensuite les disques acclamés par la critique, chez Pias, puis Athome.
La carrière de Da Silva est tentaculaire : écrire pour les autres, sortir des disques, composer des bandes originales de film, sortir des livres pour enfants, créer des spectacles jeune public : tubes, succès, best-sellers, box-office… Dans une société goulue où les cœurs ne s'attachent qu'à que ce qu'ils voient sur les téléphones, où les goûts et les passions éphémères sont tirés de force, sa réussite solide et discrète, à l'ancienne, est un tour de génie.
Défenseur de la culture, Da Silva se bat pour la jeunesse et le public empêché, pour que les créations de l'esprit soient accessibles à tous, au cas par cas, ville par ville, village par village, et pour que notre ciel soit plus élevé. Avec un arsenal d'idées extraordinaires et quotidiennes, il tient tête à tout ce qui milite contre le savoir. Ateliers artistiques et actions culturelles dans les lycées, les écoles, les hôpitaux, les prisons, les territoires, concerts dans les instituions, dans un salon de coiffure, une pizzeria, au milieu des vignes... Il fait ses valises sur une audace, c'est toujours l'innovation qui captive ce vagabond. Pour la culture, pas de bannis et pas d'expulsés avec Da Silva.
L'auteur chanteur compositeur est aussi un (grand) peintre. Ceux qui le voient peindre parlent de ses toiles comme d'un visage offert aux mains du barbier à l'échine tendue, habile au couteau, agile au pinceau. Au flanc de la toile, le peintre fond ses rêves et ses fantasmes de chats, de femmes, de nature, de vie. En soliloque il décrit, déclare, assène, converse avec l'absolu, et décharge ses secrets sur la surface blanche. Da Silva expose ses œuvres en France, en Suisse, en Belgique et au Portugal.