Le dernier album de Jean-Claude Gianadda, l’auteur de “Qu’il est formidable d’aimer”, “Trouver dans ma vie ta présence”.
Un album de chansons pour veiller et prier.
Des chants qui invitent à se tourner vers le Christ “Les mains offerte”, à chercher son regard “C’était un si beau poème”, à s’abreuver à sa source d’eau vive “Ma joie” ; des chants qui invitent aussi à marcher sur les chemins de la foi en se tournant vers Marie “Notre Dame de La Salette” ; “Dans le ciel, nous avons une Mère” ; “Sel de la terre... Marie” mais aussi vers saint Joseph.
Jean-Claude Gianadda chante depuis 1977 et a depuis enregistré une cinquantaine de disques. Ses premiers musiciens sont des accompagnateurs de qualité : les frères Lalanne (Francis qui avait quinze ans à l'époque, René et Jean-Félix).
C'est en 1994 qu'il décide d'abandonner le métier d'enseignant qui lui plaisait tant pour se consacrer à cette « mission d'Église » de « Troubadour du Bon Dieu ».
Aujourd'hui, il sillonne les routes de France pour dire dans des églises, des prisons, des hôpitaux ou des écoles, en chansons, les « choses de la vie », les choses de la foi. Sans esbroufe, ses textes et ses musiques sont convaincants. D'un dynamisme communicatif au service de la Parole et de la foi, il faut bien dire qu'il a le secret de l'animation, celui des veillées de rencontres.
Toutes ses chansons, jeunes de ton, évangéliques d'inspiration, sympathiques d'expression, circulent maintenant un peu partout comme une bonne nouvelle.